Cette nuit-là , l'orage gronda. Le vent se déchéna. Léna était cependant arrivée à trouver le sommeil. Elle dormait sur son lit, gisticulant dans tout les sens. Des gouttes de sueur perlait son front. Léna rêvait... non elle cauchemardé.

Autour d'elle tout étais noir et triste. Une forte odeur de pluis avais envahi ses narines. Soudain, la plaine sombre changea ainsi que l'odeur. La plaine devint un magnifique verger où poussait abricot et pomme. Un parfum fruité envahi Léna. Ce parfum lui était familier. C'était une journée ensoleillé. Deux enfants se tenaient au centre du verger. Une fille et une garçon qui devaient être agée de 4 ans maximum. La fille portait une robe courte rose; elle avait les cheveux d'un magnifique blond et des yeux bleu brillant de malice. Le garçon avait aussi le cheveux blond mais ses yeux étaient violet. Léna s'approcha et son souffle se coupa. La petite fille c'était elle! Et le garçon n'était autre que Jay. Léna les observa en retenant sa respiration. Une brise légére souffla sur la plaine. Les enfants semblaient triste. La garçon s'approcha de la fille et à chaque pas il rougissait de plus en plus. A présent il se tenait tout près d'elle. Il chercha un objet dans sa poche. Sa main se tendit vers la fille et s'ouvrit. A l'intérieur se trouvait un petit mirroir en argent. Léna reconnu tout de suite son mirroir. La fille s'en empara, une larme coula sur sa joue. Le garçon commença lui aussi à pleurer. Ils se serrèrent l'un contre l'autre. Autour de Léna la plaine disparu, les enfants avec.

Elle se trouva au bord d'une plage. La petite fille était dans l'eau. Une nageoire avait remplacé ses jambes. Ses larmes coulaient toujours. Sur le rivage, le garçon lui faisais un signe d'en revoir. La petite sirène plongea dans l'eau glacée. De nouveau le paysage changea.

Léna se trouvait dans le palais des sirènes rose. Dans une salle qui lui était inconu. Petite sirène Léna se trouvait elle aussi présente. Elle était allongé sur une table à côté d'une autre sirène. Léna l'a reconnu tout de suite, Léandrine! Devant la table se trouvait les reines dont Lucie avec le roi des panthalassiens, Kaïto. Tous pleuraient. Aqua Régina apparu et baissa un levier. Les deux petites sirènes furent frapper par une décharge électrique. Lucie cria retenu par Kaïto tout aussi maleureux. Les autres reines essayé de rester impassible. Ce fut dur. Très dur. Les petiters sirènes s'étaient évanouie. Une sphère noire se matérialisa au dessus de Léandrine. Aqua Régina grinça des dents. La sphère disparu et Léandrine avec. Lucie s'effondra avec Kaïto. Tout deux semblaient déchirés par une douleur horrible. Léna voulut les voir, se rapprochait. En vain. Autour d'elle, tout redevint noir. Elle se révailla.

Des larmes coulaient sur ses jouent:

<Je me souviens... Jay... le mirroir.... Léandrine... mes parents... cette nuit...Je me souviens de tout!>

Elle ne pu résister. Telle une fontaine, Léna pleura, son visage enfouie dans ses mains. Un éclair illumina le ciel suivi par une grandemant de tonnerre. La sonnerie de la porte de l'hôtel retentit. Léna se leva doucement les yeux rougi. Elle avança jusqu'à la porte. Héléana dormait profondément. Elle ouvrit la porte se demandant qui pouvait sonner à cette heure de la nuit. En face de Léna se tenait un garçon un peu plus grand qu'elle. Il était trempé par la pluie. Ses cheuveux blonds n'avaient aucune allure et ses yeux violets reflétaient à la fois un gène, de la tristesse et de la tendresse:

<Léna: Jay...

Jay: Chut, ne dis rien. Léna, je suis désolé pour tout.>

A peine avait-il pronnonçait ces mots qu'il s'approcha de Léna. Il la pris dans ces bras et la serra d'un geste protecteur contre lui. Le coeur de Léna battit la chamade. Pourquoi faisait-il ça?

<Jay chuchotant à son orreille: Merci... merci d'avoir gardait le mirroir.

Léna: Jay...

Jay: Chut. Je te protégerai pour toujours ma petite sirène>

Le coeur de Léna battit de plus en plus fort. Ce n'était donc pas un rêve mais des souvenirs qui avait hantée sa nuit. Et apparement Jay aussi venait de tout se souvenir. Il ne la lacha pas. Soudain, il se retira un peu:

<Jay: Je ne veux plus t'oublier et encore moins te pardre.>

Il se pencha vers elle. Leurs lèvres se raprochait et finir par se toucher. Le coeur de Léna failli s'arrêter. Malgrès le froid glaciale, elle avait chaud. Elle rendit son baiser à Jay.